Une mission d’intérêt international
L’une des principales missions du CHU de La Réunion est de « développer la place de La Réunion dans l’Océan indien dans le domaine sanitaire, en intensifiant les coopérations ».
Pour cela, le CHU participe à la création d’une offre de santé de qualité dans les régions et pays avoisinants :Madagascar, Comores, Seychelles et Ile Maurice via :
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le développement de partenariats stratégiques avec l’ensemble des partenaires publics et privés de l’océan Indien,
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l’association de l’ensemble des acteurs des établissements des pays de la zone Océan indien à la dynamique du CHU. Elle passe par une concrétisation de conventions de partenariat permettant l’échange et/ou la mise en commun de compétences, de savoir-faire et de culture.
Des actions concertées
Les actions de coopération du CHU de La Réunion – entièrement organisées et parfois financées par le CHU – sont menées dans le respect des priorités de santé publique.
Elles font ainsi l’objet d’une concertation avec les acteurs locaux, en cohérence avec les grandes orientations nationales (Madagascar et les Comores font partie des états prioritaires avec lesquels la coopération doit être engagée selon les recommandations de la Fédération Hospitalière de France).
D’autre part, la coopération repose sur des activités prioritaires dans les domaines
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du soin : chirurgie et périnatalité sont les domaines d’actions privilégiés, conformément aux plans de santé publique des pays de la Zone (dont l’objectif est de réduire d’un tiers la mortalité maternelle et infantile) et à la position de recours de La Réunion en Médecine et Chirurgie
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de la formation : envoi de médecins, soignants, personnels techniques et administratifs sur place, accueil de stagiaires au sein des services du CHU
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des fonctions supports : appui biomédical et soutien méthodologique en gestion hospitalière
Chaque année, nous participons également aux Journées francophones de médecine d’urgence de l’Océan indien.
Au travers de ces actions, le CHU a acquis une véritable reconnaissance de sa valeur ajoutée en termes d’efficacité, de qualité, de degré de mutualisation des compétences et des équipements, d’activités de recherche, d’innovation et d’enseignement.